Pont-de-l’Arche, cité de la chaussure : étude sur un patrimoine industriel normand depuis le XVIIIe siècle
En décembre 2009, la mairie de Pont-de-l’Arche a édité mon 3e livre ! Un ouvrage de 52 pages très illustré qui traite de tous les aspects du travail du chausson et de la chaussure dans la région de Pont-de-l’Arche depuis le XVIIIe siècle. De larges passages concernent évidemment Saint-Pierre-du-Vauvray.
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Thèmes abordés
Artisanat et cordonnerie
Division des tâches de travail, premiers ateliers et mécanisation
Evolution des transports
Modes de vies quotidiens des ouvriers
Loisirs et culture des ouvriers (fête Sainte-Anne, théâtre, fanfare, culte catholique…)
Architecture des usines, maisons bourgeoises et quartiers ouvriers
Mouvements de grève et lutte d’Octave Mirbeau en faveur des chaussonniers…
Marketing et rôle des commerciaux
Historique des plus grandes entreprises et de quelques entreprises de taille moyenne
Mondialisation des échanges
Extrait de la 4e page de couverture :
Pont-de-l’Arche est une ville de patrimoine. Il suffit de se promener dans ses ruelles pour s’en convaincre ! On se balade dans le Moyen Âge et la Renaissance au gré des façades à pans de bois et des vestiges de remparts.
Mais sait-on que notre cité recèle aussi un riche patrimoine industriel ? Depuis le XVIIIe siècle, Pont-de-l’Arche et quelques communes alentours ont constitué un pôle régional de fabrication de chaussons et de chaussures.
Des premiers chaussons cousus avec des chutes de draps aux grandes industries modernes du XXe siècle, comment la région de Pont-de-l’Arche a-t-elle acquis une réputation au-delà de la Normandie ? Quelle dynamique a permis à une vingtaine de manufactures de coexister durant de nombreuses décennies dans la même région ?
Vous le saurez en parcourant cet ouvrage très illustré, fruit de plusieurs années de recherches.
Version numérique depuis janvier 2013
Depuis janvier 2013, conformément à l'accord signé avec la Ville de Pont-de-l'Arche, une seconde édition numérique a été diffusée sur Issuu.
Une erreur nous a été signalée concernant la page 17 où nous avons écrit que Charles Niaux (qui reprit la direction des usines Magnant) "était bien entouré car sa femme Zoé Prieur, était la sœur de Henry et Georges Prieur".
Marine Ruffier corrige notre propos : "Zoé Antoinette Prieur, mon aïeule, était bien la sœur de Henry et Georges Prieur mais elle n'était pas la femme mais la belle-mère de Charles Niaux et... d'André Magnant. André Magnant avait en effet épousé Léopoldine Delamare, la fille de Zoé Prieur, et Charles Niaux avait épousé la sœur de Léopoldine, Marie-Zoé." Merci à Marine Ruffier pour cette correction.